Charlène de Monaco, sensibilité neuromusculaire, griffe du diable, son remède secret

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Charlène de Monaco, sensibilité neuromusculaire, découvrez la griffe du diable, son remède secret pour lutter contre cette pathologie. Les détails.

De la pathologie dont souffre la princesse de Monaco il est question dans les colonnes de Paris Confidences. Charlène de Monaco souffre de sensibilité neuromusculaire, la griffe du diable est son fameux remède secret.

Cette plante miracle qui soulage la princesse Charlène de Monaco.

C0onnu plus précisément par son nom commun, l’hapagophytum, la griffe du diable est l’un des incontournables traitements de cette maladie. Il s’agit d’une plante dotée d’une action analgésique. Elle sert de thérapies de fond alternatives et a pour vertu de soulager et de mettre fin aux douleurs rhumatismales.

« Elle a également son importance pour venir à bout de sa consommation de médicaments anti-inflammatoire », peut-on lire dans les lignes du magazine qui fait référence à cette sensibilité neuromusculaire de la Première dame du Rocher, maladie liée à son ancienne carrière de nageuse professionnelle.

En plus de la griffe du diable, la pratique du Yoga participe énormément à apaiser la douleur. Des recherches ont été d’ores et déjà menées dans ce sens à l’université Johns-Hopkins de Baltimore.

Des recherches qui ont aboutit à la conclusion qu’une pratique douce du Yoga contribuerait à diminuer fortement la douleur articulaire causée par la maladie. Cette discipline permettrait en outre, une amélioration de l’humeur ainsi que du stress, résultat palpable chez nombreux patients qui pratiquent du Yoga. Le résultat est plus flagrant au bout d’un certain temps, plus précisément après deux mois de pratique quotidienne de ce genre d’activité physique.

Ces symptômes redoutables avec lesquels il faut composer quotidiennement.

« Des crampes ou des tendinites. Des sensations comme si elle était victime d’arthrose », rapporte encore le magazine quant aux conséquences redoutables de cette sensibilité musculaire. Des symptômes avec lesquels la femme de 43 ans compose quotidiennement. « La crise, décrit la publication. Avec une impression de s’étouffer ». Le plus difficile avec cette maladie, c’est qu’il n’y a pas vraiment de lésion concrètement visible ni au niveau musculaire ni au niveau cérébral.

Charlène de Monaco serait en bonne voie. Elle poursuit toujours sa convalescence depuis l’Afrique du Sud.