Philippe Etchebest : ce tragique accident qui a été à deux doigts de lui coûter la vie

Philippe Etchebest : ce tragique accident qui a été à deux doigts de lui coûter la vie
© Alexandre Isard

Dans son autobiographie parue en 2015, Philippe Etchebest relate ce tragique accident qui a été à deux doigts de lui coûter la vie…

Le juré de Top Chef n’a pas manqué d’évoquer une éprouvante période de sa vie dans « Je ne lâche rien », l’autobiographie du propriétaire du Quatrième Mur, édité en 2015 chez Michel Lafon. Philippe Etchebest raconte ce tragique accident qui a été à deux doigts de lui coûter la vie.

Philippe Etchebest se livre comme jamais à travers son autobiographie.

Cette autobiographie nous permet d’en savoir un peu plus au sujet du mari de Dominique. Le chef étoilé y évoque son enfance, ses rencontres mais également son parcours. Ce sont des épisodes marquants de sa vie qui lui a permis de forger la détermination qu’on le connaît.
L’acolyte d’Hélène Darroze s’est toujours dépeint comme étant un « fonceur, perfectionniste et amoureux de la vie ». En effet, pour être parvenu dans le cercle « très fermé » des chefs étoilés, il lui a fallu opérer de grands efforts.

Philippe Etshebest est revenu à travers les pages de son ouvrage sur le drame de sa vie. Il a du haut de ses 16 ans, été victime d’un tragique accident. « Avec mes copains, Totor et Max, nous avons eu la riche idée d’aller faire la fête à Dax une veille de 15 août et de ce qui était tradi­tion­nel­le­ment, pour le restau­rant, la plus grosse jour­née de l’année. Nous partons tous les trois après le service, commençait-il par relater. Arri­vons à Dax à 1 heure du matin, en profi­tons jusqu’à 4 heures, en tâchant tout de même de ne pas abuser des bières et des pasta­gas ».

« J’étais assis à l’arrière, sans être atta­ché, ma tête a heurté » !

Au retour, Totor a pris le volant et l’animateur de Cauchemar en cuisine se trouvait à l’arrière de la voiture. Totor a eu un blanc, il s’était endormi et loupait un virage. Le véhicule a fini par percuter un mur.

« Nous ne roulions pas beau­coup plus vite que 70 km/h, mais mes deux cama­rades, à l’avant, sont restés incons­cients quelques minutes », peut-on lire. « J’étais assis à l’arrière, sans être atta­ché, ma tête a heurté l’appui tête et mon genou gauche a violem­ment cogné le siège. Je suis sorti en panique, l’arcade écla­tée et inca­pable de me tenir debout ».