Le mythique animateur de la première chaîne est devenu ces 10 dernières années l’un des visages incontournables du PAF. L’animateur se démarque de ses consœurs et confrères par son grand sourire à toute épreuve. Mais il y a quelques mois, le papa de deux filles a dû faire face à un évènement qui a assombri son visage. Nikos Aliagas, gros plan sur ce terrible cancer qui a bouleversé sa vie !
Le célèbre animateur de TF1 a sa propre façon de voir la mort. Un concept très discutable mais jusqu’à preuve du contraire, cela sert de référence dans sa vie. Il s’est développé une telle manière de voir l’au-delà depuis la disparition de son propre père. Pour illustrer cela, Nikos Aliagas revient en effet sur ce terrible cancer qui a bouleversé sa vie .
« La mort ne nous sépare pas de ceux que nous aimons ».
Quelque temps après la mort de son paternel, le présentateur de The Voice s’est saisi de son fil Instagram pour exprimer son état d’âme. « La mort, déclarait-il au tout début de son long message, ne nous sépare pas de ceux que nous aimons. En effet, elle n’altère pas le lien ou la lumière des êtres que nous portons en nous, précisait-il. Nous apprenons à vivre avec nos absents, à les retrouver dans un bruissement, un souffle, une lumière délicate, un chant d’oiseau au petit matin, développait encore Nikos Aliagas.
« Six années de lutte contre le cancer, de tout son être, sans se plaindre ni se morfondre…«
Par la suite, il a évoqué avec beaucoup d’émotions la mort de son grand ami Kostas Stamkopoulos des suites d’une longue lutte acharnée contre le cancer. “Ce soir, je voudrais vous parler de mon ami Kostas Stamkopoulos, il aurait eu soixante ans dans quelques jours mais la vie a eu un plan différent, affirmait-il. Kostas nous a quittés samedi matin aussi dignement qu’il a vécu, sans déranger personne, entouré de sa famille, en paix et dans la gratitude”, a-t-il fait mention.
« Six années de lutte contre le cancer, de tout son être, sans se plaindre ni se morfondre, Kosta toujours présent dans nos joies et nos peines, attentif à chacun de nous, sensible à l’essentiel« , expliquait-il avec autant d’admiration.