TPMP : un chroniqueur en grave danger, il est placé sous surveillance depuis le jour où Cyril Hanouna a dévoilé ce fait divers !

TPMP : un chroniqueur en grave danger il est placé sous surveillance depuis le jour où Cyril Hanouna a dévoilé ce fait divers !
© C8

Il n’est pas toujours facile d’aborder certains sujets d’actualités… Et surtout de le faire sur un plateau télé. La conséquence est souvent désastreuse. Victimes, habituellement, de menaces de mort, certains journalistes ont même fini par laisser leur vie. TPMP : un chroniqueur en grave danger, il est placé sous surveillance depuis le jour où Cyril Hanouna a dévoilé ce fait divers.

Le célèbre show de la Huit traverse actuellement une zone de turbulences. Un énorme problème qui pourrait avoir une lourde conséquence sur la configuration des programmes dans les prochains jours. TPMP : un chroniqueur en grave danger, il est placé sous surveillance depuis le jour où Cyril Hanouna a dévoilé ce fait divers. Découvrez tous les détails dans les prochaines lignes.

« Je me suis retrouvé avec un homme…très menaçant ».

Ce mercredi 9 novembre 2022, le public a été surpris par les confidences faites par ce chroniqueur emblématique de TPMP. En effet, Gilles Verdez a avoué avoir reçu de très graves menaces depuis le soir où il a débattu avec la journaliste Mélodie Stewenson.

Accusée d’avoir agressé le chirurgien Sidney Ohana, elle a accepté l’invitation de Cyril Hanouna pour apporter sa version des faits. En participant activement à la discussion, comme à son habitude, l’homme aux cheveux poivre aurait été menacé par l’entourage de la journaliste.

« Quand je suis sorti du plateau hier, racontait-il, j’ai vu le clan de Madame Stewenson« . Habitué à ce genre de débat, Gilles Verdez, en reconnaissant que les choses n’ont pas été faciles sur le plateau, n’a pas hésité à leur dire bonjour hors caméras.

Ne soupçonnant rien, poursuivait le protégé de Baba, « je me suis retrouvé avec quelqu’un de vraiment verbalement très menaçant« . « Toi, lui a balancé l’inconnu, tu nous dis pas bonjour« .

La sécurité intervient…

En se détachant de son groupe pour se rapprocher davantage de lui, en arborant un air menaçant, la sécurité de la chaîne a dû intervenir. « Moi je suis parti, j’ai rien ajouté« , confiait par ailleurs Gilles Verdez.

En mesurant l’énorme danger qui pèse sur lui, la sécurité a préféré lui prévenir. « Gilles fait très attention, on a empêché quelqu’un de prendre un scooter pour te suivre, tu devrais être suivi par un véhicule de marque française de couleur blanche, lui a-t-on annoncé.

Demande bien à ton taxi de faire plusieurs tours etc., de pas rentrer chez toi directement« , a-t-on ajouté.