Sarah Knafo et Eric Zemmour : quel prénom à choisir pour leur bébé ?

La grossesse de Sarah Knafo, la compagne du polémiste Eric Zemmour, est de plus en plus évoquée dans les médias. Alors que le couple est actuellement en train de chercher un prénom pour leur futur bébé, Eric Zemmour a dérapé.

Sarah Knafo, sa première conseillère, n’a pas attendu longtemps pour le recadrer. Un faux pas qui a été sauvé par le mea culpa d’Eric Zemmour.

Une grossesse qui semble être confirmée…

Même si la campagne d’Eric Zemmour est actuellement au summum, sa vie personnelle est également dans le collimateur des médias. En balade dans les rues de Paris, le candidat à l’Elysée et sa magistrate à la Cour Suprême ont été pris en photo ensemble par le magazine Closer.

Sur les clichés, personne ne peut échapper à cette bosse au niveau du ventre alors que dans Paris Match, en septembre dernier, aucune rondeur n’a été remarquée. Ce qui explique donc que la grossesse de la magistrate est bien confirmée et n’est plus une rumeur.

Un prénom à chercher

Alors que la grossesse de Sarah Knafo n’est plus un secret, l’étape suivante à faire est donc de chercher le prénom du bébé prévu pour le printemps. Le couple, en pleine campagne, est souvent ensemble et a beaucoup du temps pour discuter de ce sujet plus que sensible.

Dans son article, le magazine Closer explique qu’il est facile pour les parents de dénicher un prénom original pour leur bébé. Et la publication se poursuit par une déclaration : « Pour le prénom, ils n’auront qu’à piocher dans le calendrier romain ».

Un dérapage sauvé rapidement

L’influence de Sarah Knafo sur Eric Zemmour est très forte à tel point qu’elle peut obtenir tout ce qu’elle veut de son homme. Mais cette fois-ci, elle a utilisé son influence d’une façon positive. Après le dérapage du candidat d’extrême droite à la présidentielle qui a fait un doigt d’honneur à Marseille, la future maman l’a encouragé à faire des excuses.

Sur les réseaux sociaux, il a reconnu que son geste est « fort inélégant » puis il a jouté dans ses propos : « Madame, ce n’était pas le lieu d’un débat comme je les aime, le temps m’était compté. J’ai donc usé du seul langage que vous et vos camarades ‘antifas’ comprenez immédiatement : le vôtre ».

Un geste qui a coûté cher à la campagne du polémiste car il a perdu deux à trois points en trois semaines.