Patrick Bruel : ce règlement de comptes très cash du chanteur à son père ! Retour sur ses confidences sans filtre auprès du magazine Le Point !
En pleine promotion d’“Encore une fois”, son 10e album, le chanteur et comédien s’est entretenu avec le magazine “Le Point” durant lequel il revient sur ses failles et ses forces. Difficile pour lui de ne pas évoquer son enfance sans figure paternelle. Selon ses confidences, son absence lui aurait plutôt « arrangé« . Patrick Bruel : ce règlement de comptes très cash du chanteur à son père !
Il a été élevé en « solo » par sa maman, Augusta Kammoun. Bien que son père n’a jamais été là, cela n’a rien changé pour Patrick Bruel.
Patrick Bruel règle ses comptes avec son vrai père.
A 63 ans, il est aujourd’hui lui aussi, devenu le papa de deux garçons, Oscar et Léon, fruits de ses unions avec la romancière Amanda Sthers. Très discret sur sa vie privée, il ne parle que très rarement de sa famille.
Ses deux fils vivent avec leur mère aux Etats-Unis. Son père n’avait que 20 ans lorsqu’il était né. Le poids de la responsabilité parentale l’a certainement fait fuir.
S’il n’était pas présent au quotidien, il y a une chose que Patrick Bruel n’oublie pas de lui : c’est la fois où son père lui a donné un disque vinyle.
“Mon père me l’a offert en 1971, pour mes 12 ans. Il était venu à Paris, on avait déjeuné et il m’avait emmené dans un magasin pour acheter ce disque et le “Requiem” de Mozart. Ce cadeau prouve qu’il n’y a pas eu d’absence totale. Il n’a simplement pas suffisamment existé.”, Révélait l’artiste.
“J’ai vécu avec ma mère une sorte de binôme libre. On est partis en Italie en stop quand j’avais 8 ans, en sac à dos en Espagne, à Rome, voir “Tosca” aux thermes de Caracalla… on était bien » !, racontait-il.
“C’est le plus grand chagrin de ma vie” !
« Ma mère se baladait entre la grande chanson française, le rock et la musique classique. Mon éclectisme, je le lui dois.” révèle Patrick Bruel. N’oubliant pas au passage de saluer la mémoire de celui qui a fait figure de père dans sa vie, Guy Carcassonne, son grand ami et éminent juriste mort en 2013 d’une hémorragie cérébrale.
“C’est le plus grand chagrin de ma vie”, avoue Patrick Bruel. “Ça fera dix ans le 27 mai 2023. Vingt-sept ans d’amitié sans faille. Un déjeuner par semaine, un coup de fil tous les jours, des échanges sur tout.”