Nikos Aliagas : ces « six ans de combat » contre un mal incurable

Nikos Aliagas : ces "six ans de combat" contre un mal incurable
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Au plus mal, Nikos Aliagas révèle ces « six ans de combat » contre un mal incurable. L’animateur phare de TF1 s’est livré à cœur ouvert sur les réseaux sociaux. On vous dit tout !

Ici Paris consacrait sa Une à Nikos Aliagas. L’on pouvait y apercevoir l’animateur vedette de The Voice aux côtés de sa compagne Tina. Le magazine people revenait sur cette épreuve vécue des années durant par le présentateur en question. Nikos Aliagas révèle enfin ces « six ans de combat » contre un mal incurable. 

Six longues années à battre contre le cancer.

Six longues années déjà et ce n’est aujourd’hui que la star s’est décidée à s’épancher sur la question. Pour ce faire, Nikos Aliagas s’est emparé de son compte Instagram. « Ce soir, confiait-il. Je voudrais vous parler de mon ami Kostas Stamkopoulos, il aurait eu soixante ans dans quelques jours mais la vie en a voulu autrement. Kostas nous a quittés samedi matin aussi dignement qu’il a vécu, sans déranger personne, entouré des siens, apaisé et dans la gratitude.

Ce bel hommage de Nikos Aliagas à son ami Kostas Stamkopoulos.

« Six ans, poursuivait-il. À se battre contre le cancer, de tout son être, sans se plaindre, ni se morfondre« . En effet, l’animateur en a été lui aussi profondément touché. Il n’a pas été insensible à la longue souffrance subie par son ami. « La santé mon ami » me disait-il « prends soin de toi, pense à toi, le reste n’a pas d’importance. » J’allais le retrouver dans son restaurant de la rue Jean Nicot et on refaisait le monde, on parlait de musique grecque, d’oliviers et de voyages. Chez « Apollon » nous avons levé nos verres en famille, nous avons ri, pleuré, nous avons chanté, dansé, nous avons célébré l’existence« , se remémorait le binôme d’Iris Mittenaere dans 50 min inside.

« Ce soir, concluait-il. Je pense à ses beaux et bons enfants, Eleni, Aristotélis, Odysséas, je pense à sa lumineuse épouse Chrysanthi, tous plus unis et plus soudés que jamais face au départ du père. Le corps fait son temps, reconnaît-il. Mais l’âme est immortelle, une flamme jamais éteinte qui passe de génération en génération. Je garde cette image d’un dimanche de pâques célébré ensemble à Paris, il y a déjà neuf ans, Kosta heureux, chantant et dansant comme un dieu, mon père Andréas était là, mon ami Lavrentis Mahéritsas était là aussi, et s’ils sont partis depuis, je garde cet instant suspendu, volé à l’apesanteur et à la fragilité de notre passage sur terre« .