Julien Cohen fait l’acquisition des objets à prix très élevé dans le but de les détruire !

Julien Cohen fait l’acquisition des objets à prix très élevé dans le but de les détruire !
© Cedric Perrin-bestimage-Gala

L’acheteur phare de Fance 2 a encore montré que celui le boss dans Affaire conclue. Julien Cohen fait l’acquisition des objets à prix très élevé dans le but de les détruire. On vous raconte tout !

Le vendredi 25 juin 2021, Emmanuelle était venue sur le plateau d’Affaire conclue pour proposer aux enchères des fauteuils de jardin signés de la main d’un designer de renom, Philippe Starck. L’ensemble, composé de 6 pièces, a été estimé par Diem Crenais à 300 euros. Julien Cohen fait l’acquisition des objets à prix très élevé dans le but de les détruire.

« Oh croyez-moi, elles vont être bien transformées… »

En arrivant à la salle de ventes, les objets présentés par Emmanuelle avaient tout de suite conquis l’expert du vintage et du design, Laurent Journo. Dès le premier contact, ce dernier a tout de suite deviné le fabricant et le type du modèle.

« Ce sont des fauteuils de jardin Starck. Le modèle Toy, c’est ça ? », lançait-il. Sans même attendre la confirmation du propriétaire, l’acheteur avait donc débuté les enchères. Mais malheureusement pour lui, Julien Cohen s’était directement interposé en proposant le double de la valeur de l’estimation, soit 600 euros.

« Je viens d’avoir une idée », s’exclamait-il pour justifier son choix. « J’espère que tu ne vas pas retoucher ça, hein ! J’espère que tu ne vas pas les transformer ! », s’inquiétait Laurent Journo. « Oh croyez-moi, elles vont être bien transformées… », a avoué l’homme aux lunettes bleues, plus déterminé à jamais.

« Je vais les massacrer ».

« Je suis à 600. Si tu veux les sauver, il faut faire plus. Sinon, tu ne les sauveras pas… », relançait par la suite l’ancien acolyte de Pierre-Jean Chalençon. Conscient de sa détermination, Laurent Journo, bien qu’il trouve déjà que le prix proposé soit « vraiment pas raisonnable », a mis sur la table 650 euros. « Tu me fais peur, j’ai peur de ce que tu vas en faire ! Si tu les transformes, c’est vraiment terrible, ajoutait-il. Je pense à Philippe Starck et je me dis qu’il ne faut pas faire ça. Il ne faut vraiment pas y toucher », insistait-il. Mais il en fallait plus pour réussir à convaincre son collègue. « Je vais les massacrer », lui a-t-il fait bien comprendre.

Vers la fin, Anne-Catherine Verwaerde a essayé de le convaincre d’abandonner mais sans réel succès. « Et si tu les laissais à quelqu’un à qui ça plaît, plutôt que d’être dans un esprit destructeur ? », lui a-t-il fait comprendre. Mais au contraire, cela ne fait que le pousser à mettre 900 euros sur ces objets pour s’assurer de repartir avec.