Plongé dans l’anonymat total dans la capitale londonienne, le chanteur se retrouve de nouveau sous le feu des projecteurs. Jean-Jacques Goldman en exil à Londres, sa surprenante confidence sur la fin du monde. On vous raconte tout.
Pour tous ceux qui espèrent encore revoir un jour l’artiste préféré des Français sur scène, c’est peine perdue. Au détour d’une déclaration, le chanteur a tranché sur cette question. Il faut dire que JJG vit désormais dans un monde à part, loin du showbiz. Jean-Jacques Goldman en exil à Londres, sa surprenante confidence sur la fin du monde.
« Je trouve que c’est la fin du monde, c’est l’ennui absolu… »
Les fans se sont réjouis de revoir leur idole exhumée dans le film documentaire intitulé « L’énigme Jean-Jacques Goldman », diffusé à l’antenne de W9 le dimanche 31 octobre 2021.
« Dans les milieux de moyenne bourgeoisie d’où je viens, ou dans les milieux ouvriers que j’ai très bien connus, il n’y a pas cette vulgarité-là », déclarait-il en faisant allusion au monde du showbiz. Le chanteur a beaucoup insisté sur cette improbable vulgarité de pensée qui ne manque pas d’étonner les téléspectateurs.
« Quand tu es à Portofino et que tu décides d’aller dîner au Ritz un soir en prenant un avion privé, je trouve que c’est la fin du monde, c’est l’ennui absolu », a poursuivi Jean-Jacques Goldman, celui qui s’est installé depuis de nombreuses années dans la capitale anglaise.
Un choix motivé, non pour fuir le fisc, mais pour donner à ses enfants la chance de maîtriser précocement la langue anglaise. Il aspire aussi que ses filles mènent vraiment une vie dans un petit relatif loin des regards indiscrets de la pesse.
« C’est un excellent homme d’affaires qui…a réussi à imposer aux maisons de disques une marge largement supérieure« .
Malgré cette distance, JJG gagne systématiquement environs 2 millions d’euros chaque année « sans rien faire ».
« C’est un excellent homme d’affaires qui, avec l’aide de son frère Robert, a réussi à imposer aux maisons de disques une marge largement supérieure à celle qui se pratique habituellement, jusqu’à 30 % contre 7 à 8 % pour la plupart des autres auteurs, compositeurs et interprètes », pouvait-on lire dans les colonnes du magazine « Le Soir Mag ».