Hélène Ségara sans le sou : pour s’en sortir, elle commet l’irréparable !

Hélène Ségara sans le sou : pour sen sortir elle commet lirréparable !
© M6

Les difficultés peuvent parfois pousser un être humain à emprunter le chemin de l’impossible. Ce n’est pas la célèbre chanteuse qui dira le contraire. Hélène Ségara sans le sou : pour s’en sortir, elle commet l’irréparable.

Ce mardi 8 novembre, l’artiste a marqué son grand retour sur M6, sur le plateau de « La France a un incroyable talent ». Un rôle qui assure sa carrière et qu’elle ne prend jamais à la légère. Hélène Ségara sans le sou : pour s’en sortir, elle commet l’irréparable !

« On est toujours assez surpris quand on voit des choses comme ça »

Dans une entrevue accordée au magazine Gala, l’artiste a fait une bouleversante confidence. « On ne refuse pas des choses qui sont bonnes, affirmait-elle, avant d’arborer son sourire« , débutait-elle.

« En tant que jurée, c’est une émission dans laquelle on se fait énormément plaisir, a-t-elle poursuivi. On a à la fois beaucoup de joie, de rire, d’émotion et en plus on s’entend tous très bien », indiquait-elle au micro de la rédaction de Gala.

« On est tout le temps surpris et cueillis, a-t-elle fait bien mention. Je pense que l’implication des candidats et les talents que l’on découvre chaque année nous font apprécier l’émission au fil des saisons », avouait-elle.

Ce n’est pas sa seule motivation. « J’aime beaucoup la danse, précisait Hélène Ségara. Parfois je suis aussi cueillie par l’originalité de certains magiciens, ajoutait-elle. Cette année, nous avons eu du mapping avec des choses sur des écrans, déclarait-elle encore. On est toujours assez surpris quand on voit des choses comme ça », reconnaissait-elle.

« Je rêvais d’un saucisson et j’ai craqué dans un supermarché Leclerc »

Une situation qui lui a rappelé une anecdote de sa jeunesse. « J’en ai un peu honte mais oui. J’étais jeune et je galérais pour élever mon fils Raphaël, racontait-elle en rougissant. Je rêvais d’un saucisson et j’ai craqué dans un supermarché Leclerc », avouait ainsi Hélène Ségara.

« J’ai connu bien des années plus tard M.Leclerc, le patron même du centre commercial : ‘Je vous dois un saucisson’, lui a-t-il donc soufflé. Il m’a répondu, en effet, qu’il y avait bel et bien eu une prescription ».