Jusqu’à présent, la chanteuse contenue de côtoyer la mort avec les difficultés au quotidien que son cancer lui impose. Depuis son enfance, sa vie n’a pas toujours été un long fleuve tranquille, hélas ! Plusieurs drames ont en effet marqué son existence. Françoise Hardy, le destin tragique de son père, assassiné par son amant… Trop-Libre revient sur ses bouleversantes confidences à ce sujet.
Depuis de nombreuses années, l’icône de la chanson française, Françoise Hardy mène vraiment une dure bataille contre ce mal innommable qui la ronge jusqu’au plus profond de son être. Dans une longue entrevue donnée à RTL au courant de l’année 2019, la maman de Thomas Dutronc annoncé publiquement être atteint d’un nouveau cancer. Françoise Hardy, le destin tragique de son père, assassiné par son amant…
« Je suis dans un état de souffrance vraiment cauchemardesque la plupart du temps »
Malgré les divers traitements très lourds qu’elle a dû subir, cela n’a eu les effets escomptés. Bien au contraire, ces différents procédés chimiques ont eu de terribles conséquences sur l’ensemble de son organisme.
Cela lui a coûté de vivre avec une oreille sourde et un corps totalement fragile. Sans assistance, la chanteuse ne peut plus rien faire. Elle est devenue comme une handicapée. « Je suis dans un état de souffrance vraiment cauchemardesque la plupart du temps », confessait-elle.
« Ça me choque que quand on est âgé, on racole des jeunes gens qu’on rétribue pour leur service« .
Bien avant de vivre ce calvaire au quotidien, Françoise Hardy a dû faire face à sa rupture avec l’amour de sa vie et père de son fils unique, Jacques Dutronc. Au de-là de tout cela, Françoise Hardy a été déchirée par le destin tragique de son paternel, déclaré mort le 6 février de l’année 1981. Un homme qui menait une double existence.
Attiré par les hommes, il a mené un semblant de vie pendant plusieurs années. Marié à sa mère qui a eu des enfants, le père de famille entretient également une existence mondaine avec un autre homme, son amant.
Elle l’avait appris qu’au moment de constater son décès. Le choc pour l’artiste. « J’ai des côtés puritains, ça me choque que quand on est âgé, on racole des jeunes gens qu’on rétribue pour leur service. Ça me fait honte pour les deux personnes ».