Franck Dubosc : cette terrible maladie qui lui prive à jamais l’usage de ses mains !

De nature très discret lorsqu’il s’agit de déballer sa vie intime sur la place publique, l’humoriste s’est livré à cœur ouvert. Franck Dubosc, cette terrible maladie qui lui prive à jamais l’usage de ses mains. Découvrez ses propres confidences dans les prochaines lignes.

C’est très rare pour ne pas être mentionné. Invité de Sept à Huit ce dimanche 7 novembre 2021, le célèbre acteur et humoriste a fait une rare confidence sur sa vie personnelle. Franck Dubosc : cette terrible maladie qui lui prive à jamais l’usage de ses mains.

« Papa meurt mardi. Es-tu d’accord ?’ (…) J’étais en tournée, je suis revenu pour voir mon père une dernière fois« .

Franck Dubosc a fait un retour triomphal sur le devant de la scène avec son dernier téléfilm intitulé « La dernière partie ». Une fiction inspirée de sa vie réelle. Sur le plateau d’Audrey Crespo-Mara, l’acteur a tout déballé.

 » Un jour, ma mère m’a dit : ’Papa meurt mardi [en décidant de prendre l’option de l’euthanasie]. Es-tu d’accord ?’ (…) J’étais en tournée, je suis revenu pour voir mon père une dernière fois. Il était atteint de la maladie de Charcot. Très diminué, il estimait que cela suffisait ».

« Ce qui me fait le plus de peine, ce n’est pas ce qu’il a mis, c’est sa façon d’écrire comme un enfant, parce qu’il ne pouvait plus écrire« .

Par la suite, il s’est rappelé d’un événement particulier où son paternel lui a remis un objet symbolique sur la scène de l’Olympia. « Il m’a remis un dessin, que j’ai toujours sur moi dans mon agenda. C’est un dessin de moi sur la scène de l’Olympia (…) Mais c’est dessiné comme un enfant parce qu’il ne pouvait plus se servir de ses mains« .

« Il y a un mot qui dit qu’il lutte contre cette terrible maladie… qui dit que c’est lui qui gagnera« . Il se souvient notamment de la manière décrire, comme un enfant : « Ce qui me fait le plus de peine, ce n’est pas ce qu’il a mis, c’est sa façon d’écrire comme un enfant, parce qu’il ne pouvait plus écrire. Donc je vois la souffrance d’écrire ces mots où, en fait, il ne parle pas de moi, il parle de la maladie« .