Francis Cabrel, drame, une autre mauvaise nouvelle? L’équipe rédactionnelle de Trop-Libre vous fait le point dans les prochaines lignes de cet article.
Une autre mauvaise nouvelle pour Francis Cabrel, un vrai drame ! C’est ce dont évoque un article du magazine France Dimanche. Et ça se précise !
Le sort de Francis Cabrel inquiète.
« Il met ses reins à rude épreuve. Au début, le sexagénaire aurait cru bon
de prendre ses douleurs à la légère se disant sans doute qu’elles finiraient par passer. Une attitude dangereuse quand on sait que des élancements incessants dans le bas du dos peuvent être le signe d’une maladie grave, prévient l’hebdomadaire avant de poursuivre. Au-delà du cap des 60 ans, tout symptôme, quel qu’il soit, devrait être interprété comme un signal d’alarme. Et si, par malheur, le pauvre Francis tombait vraiment malade, où irait-il se faire soigner ? », glisse le magazine avant de déplorer la situation sanitaire.
Il a surtout fait état des déserts médicaux. « À Astaffort, son village d’origine situé en Lot-et-Garonne, il n’y a pas de médecins« , précise France Dimanche. En cas de pépins de santé, la seule alternative possible est de se rendre à l’hôpital d’Agen, le plus proche. Conscient de cette situation, un appel a été lancé sur les réseaux sociaux par certains habitants du village.
La star « prête main-forte dans cette quête » !
« La ville d’Astaffort, dans le Lot-et-Garonne, recherche désespérément un médecin généraliste. L’un des deux derniers médecins de la commune va partir à la retraite et n’a pas de remplaçant« , annonce un article d’Europe 1. Francis Cabrel, chanteur et célèbre habitant de cette petite commune, a accepté de prêter main forte dans cette quête ».
Si la vidéo en question a fait le buzz, « à la maison de santé, souligne Le Parisien, les postulants ne se bousculent pas pour remplacer l’un des deux médecins qui, à 68 ans, espère un jour pouvoir prendre sa retraite ».
« Changer de ville, prévoir un déménagement prend du temps, encore plus si le ou la médecin vient avec sa famille, il faut que l’on soit patient », indiquait Sophie Mas-Chevalier, orthophoniste et présidente de l’association de la maison médicale, invitée à s’exprimer sur le sujet.