Charlotte Casiraghi : ce gros complexe qui lui gâche la vie !

Charlotte Casiraghi : ce gros complexe qui lui gâche la vie !
© ABACA

Savez-vous pourquoi la maman du petit Raphaël change constamment de look ? Charlotte Casiraghi, ce gros complexe qui lui gâche la vie. Les détails avec l’équipe de Trop-libre.

Si la maman du petit Raphaël est devenue actuellement une femme qui aime changer (au gré de ses envies) de look (plus particulièrement sa coupe de cheveux), c’est avant tout à cause d’un problème de comportement qu’elle aurait hérité de sa grand-mère, la princesse Grace Kelly. Charlotte Casiraghi compose depuis fort longtemps ce gros complexe qui lui gâche la vie !

Depuis son adolescence, en ne considérant que ses coupes de cheveux, Charlotte Casiraghi s’est présentée sous diverses apparences physiques. Une particularité qui a fait d’elle l’une des femmes les plus en vue dans le domaine de la mode. Devenue une manie, ce réflexe lui a également causé énormément d’ennui dans sa vie passée.

Cette sensation de mal-être qui risque de faire beaucoup de dégâts !

Si la femme de Dimitri Rassam change systématiquement son apparence physique c’est avant tout pour tenter de dissimuler ce gros complexe. Sa mamie avait également passé son temps à cacher ce défaut situé au niveau de la morphologie de l’ensemble de sa figure. Malgré les nombreuses recommandations de ses proches de s’accepter telle qu’elle était, la mère du prince Albert II de Monaco a essayé de vivre dans la peau d’une autre femme.

Pour revenir à l’ex compagne de Gad Elmaleh, elle est en train de revivre le même parcours que sa grand-mère. La défunte première dame du Rocher a fait l’objet de deux ouvrages majeurs décrivant dans les moindres détails ce gros complexe qui marqué son quotidien de femme.

« Pour réduire ce qu’elle voyait comme une particularité physique, elle avait choisi une coupe spécifique« .

« Grace était fortement complexée par sa mâchoire qui était carrée, pouvait-on lire en noir sur blanc dans ces deux livres. D’ailleurs, le reste de sa famille a la même mâchoire. Elles cherchaient toutes la meilleure coupe de cheveux qui va cacher ou du moins ce qu’elle considérait comme un défaut », précisait encore l’auteure, Sophie Andriansen.

« Pour réduire ce qu’elle voyait comme une particularité physique, elle avait choisi une coupe spécifique. C’était une coupe avec une raie sur le côté qui ne la convainquait guerre », développait dans un autre passage du livre cette écrivaine du haut de ses 39 ans.