Charlène de Monaco au plus mal, grosse inquiétude autour de Gabriella !

Charlène de Monaco au plus mal, grosse inquiétude autour de Gabriella !
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L’état psychologique de la princesse se dégrade jour après jour. Charlène de Monaco au plus mal suite à cette grosse inquiétude autour de Gabriella. Découvrez ce que pense un expert de toute cette histoire…

Jusqu’à présent, la Première Dame du Rocher se retrouve coincée dans son pays natal…à plus de 8.000 kilomètres de son mari et de ses deux enfants. Officiellement, la princesse, pour des raisons médicales, est dans l’incapacité de voyager en avion. Mais cette longue absence n’a pas sans conséquence sur tous les membres de sa petite famille. Charlène de Monaco est au plus mal avec cette grosse inquiétude autour de Gabriella.

Jacques et Gabriella… Des victimes collatérales !

Quelle que soit la raison qui maintient Charlène de Monaco en Afrique du Sud, elle commence à s’angoisser sérieusement pour ses jumeaux, Jacques et Gabriella… Des victimes collatérales.

Dans son dernier numéro, le célèbre magazine people Bunte continue d’alimenter encore ces grosses tensions entre le prince Albert de Monaco et sa femme, Charlène en s’attardant sur la répercussion de cette histoire sur leur progéniture. Et les propos tenus par l’hebdomadaire ne ménagent pas le couple princier.

« Que ce soit en raison de ses problèmes de santé ou d’une crise conjugale avec le prince Albert (63 ans), pouvait-on lire dans le grand magazine allemand, les victimes sont ses enfants, Gabriella et Jacques (6 ans tous les deux), qui doivent cruellement regretter leur mère ». Un avis tiré d’un long entretien avec un psychologue, le docteur Hannes Niggenaber.

« Il y a un risque que la confiance fondamentale des enfants soit attaquée« .

L’expert ne s’est pas arrêté là. « Il y a un risque que la confiance fondamentale des enfants soit brisée, précisait par la suite le spécialiste.
Albert se révèle être un super papa, mais le fait est qu’il ne peut pas remplacer sa mère. Les terrains de jeux, les jet-skis et les nounous aimantes n’aident pas non plus« , développait le psychologue dans les colonnes de Bunte.

« Les enfants ont besoin de structures et de rituels. Une relation intermittente avec la mère, qui est biologiquement la personne de référence la plus proche, ne suffit pas. Il y a un risque que la confiance fondamentale des enfants soit attaquée », a-t-il conclu.