Dans une entrevue accordée au Journal du Dimanche, l’actrice a encore prouvé sa clairvoyance. Découvrez cette question très délicate que Sophie Marceau a choisi d’esquiver.
Le débat sur la vaccination contre la Covid-19 continue à faire rage partout. Ceux qui prennent la parole en public doit en effet rester vigilent pour ne pas provoquer la colère des partisans de l’injection du sérum et les opposants. Cette question très délicate que Sophie Marceau a choisi d’esquiver !
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» Vous voulez en fait savoir si je suis pour ou contre la vaccination ?«
« C’est une drôle de question, affirmait-elle au tout début. En plus, elle est très personnelle, ajoutait-elle. Me l’auriez-vous posée il y a un an ? Retournait-elle la question au journaliste du Journal de Dimanche. Sans attendre une quelconque réponse de son vis-à-vis, l’actrice prend le soin de lui balancer en pleine figure : Vous voulez en fait savoir si je suis pour ou contre la vaccination« .
En comprenant l’intention de son intervieweur, Sophie Marceau avait décidé de contourner la question en répondant la façon la plus neutre possible. Elle voulait certainement éviter d’entrer dans un débat qui n’en finit jamais entre les partisans de la vaccination et ceux qui s’y opposent fermement.
On se rappelle encore le sort que Jean-Marie Bigard avait subi en osant lever la voix pour soutenir les manifestants anti-passe sanitaire.
Interrogé par la rédaction de RT France le samedi 22 mai, le jour de la manifestation à Paris, l’humoriste avait même risqué une comparaison très brûlante qui nous renvoie en plein cœur de la seconde guerre mondiale.
« C’est une honte nationale. Je compare et il faut absolument mettre un signe distinctif comme on a fait avec les juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Je vais guérir tout seul avec mes anticorps, je n’ai pas besoin de cette merde dans mon corps.[…] Pourquoi je me ferais vacciner ? »
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« Chacun doit faire en son âme et conscience« .
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Pour revenir à l’entrevue avec Sophie Marceau, elle estime que « chacun doit faire en son âme et conscience. D’une façon ou d’une autre, précisait-elle par la suite, je ne suis pas contre les vaccins et il n’est pas question de mettre autrui en danger.
Par contre, a-t-elle fait bien mention, je trouve juste qu’en France, on a tendance à prendre trop de médicaments. On ferait mieux d’apprendre aux gens à mieux se soigner naturellement et à se nourrir sainement« , suggérait-elle vers la fin. Une façon la plus douce d’envoyer paître ce journaliste qui a voulu lui tendre ce guet-apens…